Guide de survie pour une rentrée scolaire réussie d’un·e nouvel·le agent·e non-titulaire, conçu pour t’aider à bien démarrer dans ce métier exigeant mais passionnant :
1 – Je suis nommé·e dans un établissement
Je viens d’être recruté·e en qualité d’agent·e non-titulaire de l’Éducation nationale. Ce guide m’aide à franchir les premières étapes de ma prise de fonction dans le 2nd degré (collèges et lycées).
Dès que mon affectation m’est communiquée :
- Je contacte le ou la chef·fe d’établissement (ou les chef·fes si je suis sur plusieurs sites) pour me présenter officiellement
- Je prends connaissance des attentes pédagogiques et administratives
- Je m’informe sur le fonctionnement de l’établissement : réunions, règlement intérieur, etc.
- A l’INTENDANCE,
– Je peux aussi récupérer les clés des salles de classe ; la carte ou le code pour la photocopieuse ou l’accès à la reprographie ; le bip, le badge, la carte ou le code d’accès pour le parking ; les tickets ou la carte pour le restaurant scolaire… - AU SECRÉTARIAT
– J’obtiens mon NUMEN, NUMéro d’identification Education Nationale et mon adresse mail professionnelle (…@ac-nom de l’académie.fr), afin de pouvoir accéder à la messagerie professionnelle.
– C’est la seule adresse officielle qu’il convient d’utiliser pour communiquer avec l’administration. - Je profite de ma visite pour identifier certains personnels comme :
Le ou la responsable du SNES-FSU dans l’établissement appelé·e S1 ;
La personne-ressource pour le numérique (RUPN) et/ou le ou la responsable de l’Environnement Numérique de Travail (ENT) qui me communiqueront les codes (identifiant et mot de passe) pour me connecter au réseau de mon établissement et ouvrir une session de l’ENT.
Le SNES-FSU défend une prise de poste encadrée et équitable pour tou·tes les personnels non titulaires enseignant·es, CPE, PSY-ÉN. Trop souvent, ces personnels précaires sont affectés en urgence, sans préparation, sans réunion d’accueil, sans documents officiels, voire sans contrat signé.
Le SNES-FSU revendique :
- Une prise de poste accompagnée (accueil, présentation, tuteur-tutrice)
- La remise immédiate du contrat de travail avec les conditions d’exercice
- Le respect de la qualification dans le choix de la discipline et du niveau enseigné
- Une meilleure anticipation des affectations, pour sortir de la précarité de dernière minute
Le SNES-FSU rappelle que vous avez des droits dès le premier jour : vous pouvez être
syndiqué·e, soutenu·e, informé·e.
2 – Avant la rentrée : Je prépare le terrain
Je vérifie mon contrat et ton établissement
- J’analyse mon contrat de travail : Je vérifie les dates, les niveaux d’enseignement, les disciplines attribuées et le volume horaire.
Le SNES-FSU dénonce les abus liés aux heures supplémentaires imposées ou aux VS erronées. Il faut vérifier la conformité du document, ne rien signer sans comprendre, et faire appel au SNES-FSU pour défendre ses droits.
- Je me familiarise avec l’établissement : Je consulte le site web de l’établissement, le projet d’établissement et le règlement intérieur. Si possible, je visite les lieux avant la rentrée pour repérer les salles de classe, la salle des professeur·es, la vie scolaire, etc.
- Je participe aux instances collectives : Je m’implique dans les conseils d’administration (CA) pour comprendre la répartition des moyens (Dotation Horaire Globale – DHG) et les décisions structurelles de l’établissement.
Je découvre mon emploi du temps
- Je récupère mon emploi du temps hebdomadaire.
- Je vérifie les classes, salles et horaires.
- Je signale tout problème ou incohérence au secrétariat ou au chef d’établissement.
- Je repère les réunions obligatoires : conseils de classe, réunions d’équipe…
Astuce : J’utilise un agenda ou cahier de bord pour suivre mon organisation.
Le SNES-FSU rappelle que l’emploi du temps doit respecter le cadre réglementaire :
- Le volume horaire Le volume horaire inscrit dans votre contrat correspond au maximum réglementaire de service :
- 18h pour les enseignant·es du second degré,
- 30h + 6h de travail personnel pour les professeur·es documentalistes,
- 35h + 4h pour les CPE (Conseiller·es principal·es d’éducation),
- 27h + 4h pour les PSY-ÉN (PSYchologues de l’Éducation Nationale – spécialité éducation, développement et orientation).
- Les heures supplémentaires (HSA, HSE) doivent être acceptées explicitement et rémunérées.
- Le temps de service ne peut pas s’étendre indéfiniment dans la journée : les temps de pause, les déplacements entre établissements et les coupures déraisonnables doivent être limités et justifiés.
Le SNES-FSU se mobilise pour :
- La limitation des emplois du temps « éclatés » (trop de trous dans la journée).
- Le respect du temps de travail global.
- La rémunération juste des compléments de service ou des affectations multi-établissements.
Si votre emploi du temps est injuste ou incohérent, ne restez pas isolé·e : contactez la section locale du SNES-FSU. Le syndicat peut vous aider à négocier des aménagements, voire à faire corriger un service inéquitable.
Je prends contact avec les collègues
- Je me présente en salle des professeur·es
- Je repère les collègues de ma discipline pour coordonner mes cours
- Je prends contact avec les professeur·es principaux et principales des classes que j’ai
- Je m’appuie sur l’expérience collective : ne pas rester isolé·e, ne pas hésiter à poser des questions
- J’observe, j’écoute, je suis discret et respectueux : ce sont les clés d’une bonne intégration
Le SNES-FSU insiste sur l’importance de l’intégration des professeur·es, CPE, PSY-ÉN non titulaires dans les équipes pédagogiques. L’isolement est un risque réel pour les nouveaux et nouvelles collègues, notamment pour les collègues non-titulaires affecté·es tardivement ou à temps incomplet ou en service partagé.
Le SNES-FSU revendique :
- La désignation d’un·e collègue référent·e ou tuteur·rice pour tout·e agent·e non titulaire
- Une véritable politique d’accueil dans les établissements (présentation à l’équipe, partage des outils pédagogiques, accès aux documents internes)
- L’égalité de traitement entre titulaires et non-titulaires dans la répartition des services, des ressources et des responsabilités pédagogiques
Le SNES-FSU rappelle que l’esprit d’équipe est une protection professionnelle : s’entourer de collègues, s’informer ensemble, échanger sur les pratiques, c’est aussi se protéger collectivement contre les abus et l’isolement.
Je signe ma VS avant la Toussaint :
La ventilation de service (VS) détaille mon service hebdomadaire : heures devant élèves, HSA (heures supplémentaires), pondérations et missions. Elle sert de base à la rémunération. Il faut le lire attentivement avant de la signer pour :
- Comparer la VS à mon emploi du temps réel
- Demander des explications en cas de doute
- Contacter le SNES-FSU si une incohérence apparaît
Elle indique en particulier :
- les modalités de service (temps complet ou partiel)
- les cours et les classes pour l’année scolaire
- les éventuels allègements de service (complément de service sur deux communes et /ou trois établissements en deux dans une affectation sur l’année : 1 heure d’allègement de service ; professeur·e de PC ou de SVT avec au moins 8 heures de cours dans un collège sans agent de laboratoire : 1 heure d’allègement de service (dite heure de vaisselle).
- les décharges (de formateur par exemple)
- les pondérations
- les pactes (ISOE part fonctionnelle), les IMP (indemnités de mission particulière)
- le nombre d’heures supplémentaires année (HSA)
La VS doit être signée peu de temps après la rentrée. Il faut y être vigilant car ce document conditionne le paiement des heures supplémentaires. L’ISOE part modulable (dite prime PP) pour les fonctions de professeur·e principal·e est remontée sur un document spécifique.
La VS peut être demandée au secrétariat de mon établissement si j’arrive sur un poste qui a été occupé précédemment dans l’année scolaire et qu’elle a été signée par mon prédécesseur : elle peut être modifiée en cours d’année.
3 – Jour J : Je gère la rentrée avec sérénité et professionnalisme
La rentrée est un moment-clé pour les personnels de l’Éducation nationale. Elle ne se limite pas à un accueil logistique, c’est un temps fort de positionnement professionnel et pédagogique. Le SNES-FSU accompagne les collègues dans cette étape déterminante pour poser un cadre clair et propice aux apprentissages.
Je fais une bonne impression pour incarner une autorité sereine
Dès les premières heures, il s’agit d’affirmer sa place d’enseignant·e tout en construisant une relation de confiance. Le SNES-FSU rappelle que cette impression initiale est un levier essentiel d’autorité et de légitimité professionnelle. Cela comprend :
- Une présentation soignée (ni rigide, ni négligée) renforce la reconnaissance de ton rôle
- La ponctualité, la politesse et une attitude respectueuse envers élèves et collègues participent d’un climat scolaire apaisé
- Se présenter clairement, en posant ses attentes, c’est affirmer son cadre sans ambiguïté
J’instaure les règles dès le départ pour poser le cadre d’enseignement
Le SNES-FSU défend une école fondée sur la justice, la clarté des règles, et la cohérence éducative. Pour cela, le cadre doit être défini collectivement mais énoncé fermement dès le début.
- Des règles simples et explicites (tenue, matériel, prise de parole) permettent à chacun de se repérer.
- Une attitude ferme mais équitable protège les élèves comme les enseignant·es : les premières semaines sont déterminantes pour la suite de l’année.
- Le syndicat rappelle qu’il ne revient pas aux seul·es enseignant·es de “tenir la classe”, mais que c’est à l’institution de garantir les conditions de travail et d’enseignement.
Je crée le lien avec les élèves : une relation éducative sans confusion des rôles
La qualité de la relation éducative est au cœur du métier, mais elle ne peut reposer que sur la seule “bienveillance” : il faut une reconnaissance du rôle, du savoir, et des responsabilités de chacun·e.
- J’apprends rapidement les prénoms montre à l’élève qu’il ou elle est reconnu·e comme individu
- J’utilise un calme, un regard posé, et l’humour dosé favorisant un climat de confiance sans perdre la distance nécessaire
- La bienveillance ne doit jamais signifier la complaisance : une distance professionnelle est indispensable pour préserver l’autorité et éviter les dérives.
4 – Je prends en main la gestion de ma classe
Je mets un cadre clair :
- Je me présente brièvement aux élèves ;
- J’explique mes attentes et règles de fonctionnement ;
- J’applique les règles de façon cohérente et constante.
Je gère ma classe :
- Je prépare les séances et supports en amont ;
- Je varie les activités pour garder l’attention ;
- Je suis attentif aux élèves en difficulté ou perturbateurs que je signale aux PP et/ou aux CPE.
Je rencontre un problème :
- Je ne reste pas seul en échangeant avec les collègues, le CPE ou la vie scolaire ;
- Je note les incidents importants et je transmets un rapport ;
- Je me fais accompagner si nécessaire par le représentant du SNES.
Le SNES-FSU rappelle que la gestion de classe est un enjeu collectif, pas seulement individuel. Les enseignant·es non titulaires sont souvent confronté·es à des classes difficiles sans accompagnement, formation ou moyens adaptés.
Le SNES-FSU revendique :
- Une formation spécifique à la gestion de classe, intégrée à l’accueil des nouveaux et nouvelles enseignant·es ;
- Une politique de soutien aux équipes pédagogiques, notamment en cas de situations conflictuelles ou de violence scolaire ;
- La reconnaissance du rôle éducatif des enseignant·es, souvent négligé dans les discours officiels mais fondamental dans la réalité du terrain.
Le SNES-FSU invite les collègues à ne pas culpabiliser en cas de difficulté : gérer une classe demande du temps, de l’expérience, du soutien. En parler avec les collègues, le syndicat, ou en réunion pédagogique permet de trouver des solutions et de ne pas rester isolé·e.
5 – Je construis une relation sereine avec les parents d’élèves
La relation avec les familles fait partie de mes missions. Elle repose sur clarté, écoute et professionnalisme.
Moments importants :
- Rencontre parents-professeur·es : je me prépare (liste d’élèves, remarques constructives, temps de parole maîtrisé) ;
- Rendez-vous individuels : je privilégie les faits objectifs, j’écoute sans juger, je reste calme même en cas de tension.
Bonnes pratiques :
- Je reste professionnel·le et objectif·ve ;
- Je ne fais jamais de promesses irréalisables ;
- Je sollicite l’aide de l’équipe si la situation est tendue.
Le SNES-FSU rappelle que la relation avec les parents doit être institutionnelle, respectueuse et cadrée. Les enseignant·es, qu’ils ou elles soient titulaires ou non titulaires, ne doivent jamais être isolé·es ni exposé·es à des pressions dans le cadre de ces échanges.
Le SNES-FSU revendique :
- Le respect de l’autorité pédagogique et professionnelle des enseignant·es
- Un cadre clair pour les communications parents-professeur·es, avec l’appui de la hiérarchie
- La protection des personnels en cas d’agression verbale ou de mise en cause injustifiée
- Une meilleure formation à la communication avec les familles, notamment pour les nouveaux ou nouvelles enseignant·es.
En cas de difficulté ou de conflit avec un parent, ne jamais gérer seul·e : prévenir immédiatement la direction, signaler par écrit, et se rapprocher du SNES-FSU pour être accompagné·e dans les démarches.
6 – J’utilise les outils numériques mis à disposition
L’usage du numérique est central dans la communication et la gestion de la classe.
Les principaux outils :
- Je découvre l’ENT (Espace Numérique de Travail) : pour déposer les cours, transmettre les devoirs, communiquer avec les élèves ou les parents ;
- J’utilise le logiciel de gestion des notes, absences, remarques disciplinaires ou pédagogiques. (Par exemple Pronote, Mon bureau numérique …) cela change d’une académie à l’autre ;
- Je consulte régulièrement ma messagerie académique : à consulter régulièrement pour les informations officielles ;
- Je découvre les manuels papiers ou numériques : disponibles selon les établissements.
Si je ne connais pas un outil, je demande à un·e collègue ou à un·e référent·e numérique. Des tutoriels sont souvent disponibles.
Le SNES-FSU alerte sur la dérive de la surcharge numérique qui pèse de plus en plus sur les enseignant·es. Les outils numériques doivent faciliter le travail pédagogique, non le remplacer ni l’alourdir sans contrepartie.
Le SNES-FSU revendique :
- Le respect du temps de travail : pas d’injonction à répondre aux mails ou à alimenter les plateformes en dehors du temps de service ;
- Le droit à la déconnexion, notamment pour les non-titulaires qui n’ont pas toujours de poste de travail dans leur établissement ;
- Une formation claire et accessible aux outils numériques, notamment pour les nouveaux et nouvelles collègues ;
- Des outils choisis avec les personnels, respectueux des données personnelles et non intrusifs.
Le SNES-FSU conseille de faire un usage professionnel mesuré des outils numériques, de ne pas répondre aux sollicitations abusives, et de signaler toute pression ou difficulté liée au numérique à la direction ou à votre section syndicale.
7 – Je pense à ma formation continue
- Je me renseigne sur les formations proposées par le rectorat, l’Ecole Académique de Formation Continue (EAFC) ou les Formations d’initiative Locale internes à l’établissement (FIL). Ces FIL sont des formations demandées par le·s chef·fes d’établissement pour répondre à un projet d’équipes pédagogiques d’un ou plusieurs établissements regroupés ;
- Je peux m’inscrire à des formations disciplinaires, pédagogiques, numériques ;
- Je m’informe sur les droits à congé de formation, le Compte personnel de Formation (CPF), la validation des acquis de l’expérience (VAE) ou sur les concours internes.
Consulter régulièrement le site académique, les affichages en salle des professeur·es, ou interroger le·s référent·es formation (s’il y en a un dans l’établissement).
Le SNES-FSU dénonce une formation continue souvent inaccessible ou inadaptée pour les agent·es non titulaires. Les besoins des non-titulaires sont rarement pris en compte, et les formations sont parfois proposées sans rémunération, ni prise en charge des frais, ni décharge horaire.
Le SNES-FSU revendique :
- Un accès effectif et prioritaire à la formation continue pour les personnels non titulaires ;
- Une indemnisation ou prise en charge systématique des frais pour les formations hors temps de service ;
- La valorisation des parcours de formation dans les renouvellements de contrat et les évolutions de carrière ;
- Des formations spécifiques pour les personnels non titulaires, intégrées dès la prise de poste (gestion de classe, évaluation, outils numériques, posture professionnelle…).
Le SNES-FSU encourage tous les collègues à revendiquer leur droit à la formation, indispensable pour exercer sereinement et progresser professionnellement. Le syndicat peut vous aider à connaître vos droits et vos possibilités selon votre statut et votre ancienneté.
8 – Je connais mes droits et je me protège
Le SNES-FSU rappelle que les personnels non titulaires ont des droits spécifiques :
- Rémunération : elle doit correspondre à votre niveau de diplôme et à votre expérience.
- Congés : vous avez droit à des congés payés, des congés maladie, maternité, etc.
- Formation : accès aux formations continues et possibilité de bénéficier d’un tuteur.
- Évaluation : elle doit être réalisée dans le respect des textes réglementaires.
En cas de doute ou de problème, contactez la section académique du SNES-FSU de votre région.
9 – Je m’engage collectivement
Le SNES-FSU agit pour :
- La titularisation des enseignants, CPE, PSY-ÉN non titulaires.
- L’amélioration des conditions de travail.
- La revalorisation salariale.
- La reconnaissance professionnelle.
Participez aux assemblées générales, aux heures mensuelles d’information syndicale, aux stages syndicaux et aux mobilisations pour faire entendre votre voix.
Conclusion : je prends le temps d’apprendre
Le métier d’enseignant s’apprend pas à pas.
En observant, en demandant conseil et en me formant régulièrement, je construis une posture professionnelle solide. Ce guide m’accompagne dans cette démarche.
Rappelle-toi : tu n’es pas seul·e. Chaque enseignant·e a un jour été débutant·e.
Prendre ses fonctions en tant qu’enseignant·e non titulaire, c’est relever un défi : s’adapter vite, assumer pleinement ses responsabilités pédagogiques et trouver sa place au sein de l’équipe éducative. Ce guide a pour but de vous accompagner pas à pas dans cette prise de poste et de vous rappeler que vous n’êtes pas seul·e.
Le SNES-FSU s’engage chaque jour pour défendre les droits des personnels non-titulaires. Il dénonce la précarité, l’opacité des affectations, les contrats instables, et revendique une grille de rémunération nationale et un vrai statut pour les agent·es non titulaires, avec des perspectives de titularisation.
Le SNES-FSU se bat pour :
- Une entrée dans le métier mieux encadrée, avec formation, accompagnement et reconnaissance.
- Le respect du cadre réglementaire : service, rémunération, droits syndicaux, temps de travail.
- L’égalité de traitement entre tout·es les enseignant·es, quel que soit leur statut.
Le SNES-FSU vous invite à ne pas rester isolé·e : rejoignez un collectif, informez-vous, défendez vos droits. Adhérer, c’est se protéger, mais aussi participer à l’amélioration du système pour toutes