

Les Psy-ÉN et les DCIO ne sont pas épargné·es. À la rentrée de nombreux postes restent vacants soit par manque de candidat·es, soit par démission des nouveaux et nouvelles nommé·es, soit par non remplacement des collègues en congé. Le prélèvement d’un poste par département pour asseoir le ou la future psychologue-conseiller·e technique en santé mentale– dont les recrutements se font dans une totale opacité – aggrave encore la pénurie. La charge de travail s’alourdit par empilement des dispositifs mais aussi par les dysfonctionnements du système.