Dans de nombreux pays, les femmes sont les premières victimes des conflits armés, des famines, des spoliations de terres et des gouvernements réactionnaires et théocratiques. Le SNES-FSU appelle à manifester en solidarité avec toutes celles qui ne peuvent pas parler, dont les voix sont tues, qui subissent des violences sexuelles, des mutilations et des tortures.
En France, l’austérité budgétaire pèse lourdement sur les services publics et aggrave les inégalités, les femmes en étant les premières victimes, tant au travail que dans l’accès aux services publics essentiels. Les choix budgétaires pèsent aussi lourdement sur les budgets des associations qui accompagnent, écoutent, hébergent, les femmes victimes de violences pendant que l’État se désengage.
Le SNES-FSU exige une loi cadre intégrale contre les violences faites aux femmes et un investissement à hauteur de 3 milliards d’euros nécessaires pour la mettre un œuvre : c’est une urgence politique et sociale !
Contre le patriarcat : ni oubli, ni silence, marchons contre les violences le 25 novembre !
Pour connaître les lieux et horaires des manifestations près de chez vous, rapprochez-vous de votre section académique du SNES-FSU.
Dans cet article, vous retrouverez l’ensemble des outils de la mobilisation :
- Les visuels revendicatifs à diffuser sur les réseaux sociaux.
- Le supplément “femme” de l’université syndicaliste n°851.
- L’appel unitaire.
- Une affiche contre les VSS au travail.
- Le livret FSU pour l’éradication des VSS au travail.
Visuels contre les VSS













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