La FSU avait appelé les psychologues de l’Éducation nationale, de la PJJ, du travail, des collectivités territoriales et de l’administration pénitentiaire à participer à cette journée pour protester contre le mépris de ce gouvernement à l’égard de la profession et la volonté d’encadrement de ses pratiques.

La presse s’est surtout fait l’écho de la colère par rapport au tarif dérisoire du paiement de la consultation des psychologues acceptant de rentrer dans les différents dispositifs d’aide psychologique d’urgence mis en place par le gouvernement (dispositif PsyEnfantAdo, plate-forme santé psy étudiant).

Mais la question de l’insuffisance des moyens des services publics faisait également partie des revendications, ainsi que l’urgence de recrutements et l’arrêt du recours systématique aux emplois précaires.

A Rouen

Les réponses apportées à la délégation reçue au ministère de la Santé et des Solidarités n’ont pas été à la hauteur des revendications. En particulier le ministère a rejeté la demande d’une augmentation des rémunérations des psychologues du secteur public. Il s’est seulement engagé à la reprise de discussions concernant la structuration des psychologues à l’hôpital.

A Orléans

La FSU a appelé les personnels de la fonction publique à une journée d’action intersyndicale le 15 juin. Pour l’emploi, les missions publiques et le pouvoir d’achat.

Une audience été demandée au ministère de l’Éducation nationale de la Jeunesse et des Sports pour les PsyEN.

La FSU s’opposera à toutes les tentatives de regroupement des psychologues dans le code de la santé publique et de création d’un ordre pour les psychologues.

A Paris
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