Qui se souvient ? Il y a neuf mois, nous commencions l’année scolaire avec une ministre démissionnaire, Nicole Belloubet, pour celles et ceux qui se sont perdus dans le décompte des ministres de l’Éducation nationale. Puis nous avons encore changé de ministre, cette fois le 24 décembre, entre le sapin et les fruits de mer. Des années qui semblent à chaque fois compter triple, c’est désormais le lot de l’Éducation nationale, d’autant plus que le quotidien peut être parfois pesant.

Mais cette année a aussi été celle, où, encore une fois, le SNES-FSU a été aux côtés de la profession pour agir, défendre les personnels et faire bouger des lignes. La campagne du SNES-FSU « nous ne trierons pas nos élèves » initiée au printemps 2024 a largement convaincu. Elle a permis que le « Choc des savoirs » ne s’applique pas partout à la rentrée. Nos arguments ont fait mouche dans la profession, chez les parents, au Conseil d’État et même à l’Inspection générale. Aujourd’hui le « Choc des savoirs» est très fragilisé, nous devons porter le coup fatal l’an prochain. Au quotidien, les militant·es du SNES-FSU ont répondu à vos questions sur les mutations, les carrières, appuyé les mobilisations locales, proposé des stages syndicaux…

Le SNES-FSU agit pour vous et avec vous. Il est le plus grand collectif de professionnel·les de l’Éducation nationale, un outil de luttes mais aussi de solidarité et de réflexion sur nos métiers. Les ministres passent, le SNES-FSU reste : rendez-vous à la rentrée !