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Pour vous faire entendre, votez FSU !

Les élections qui auront lieu entre le 1er et le 8 décembre prochain verront des centaines de milliers de fonctionnaires de l’Éducation nationale s’exprimer. C’est le moment de se faire entendre et d’exiger un changement de cap dans la politique éducative.

19 octobre 2022

Pour gagner, il faut voter !

Salaires, effectifs, néomanagement… L’Education nationale est épuisée et le changement de ton affiché ne doit pas faire illusion.

Les quelques annonces insuffisantes – sur les salaires, le point d’indice, les quelques changements sur les maths au lycée et la méthode ne sont le résultat que d’une chose : les mobilisations et la pression que nous avons porté sur le gouvernement.

La campagne menée par le SNES-FSU depuis des mois commence à porter ses fruits : face à la pression syndicale, le ministère est obligé de nous donner des gages. Mais cela n’est pas suffisant : plus que jamais, nous devons continuer d’agir et peser pour gagner !

Nous avons besoin de vous !

Pour que notre voix porte et soit entendue, nous avons besoin de votre vote pour porter la parole d’une majorité claire et être entendus.

Les élections qui auront lieu entre le 1er et le 8 décembre prochain verront des centaines de milliers de fonctionnaires de l’Éducation nationale s’exprimer. C’est le moment de se faire entendre et d’exiger un changement de cap dans la politique éducative.

Le SNES intervient au quotidien auprès des personnels de l’Education. Votre voix doit être écoutée tous les jours et pas seulement à l’occasion de ces élections.

Aux mobilisations entamées cet automne s’ajoute l’action de plaidoyer dans les instances nationales et la défense des personnels en local.

Une majorité présente en local, qui pèse au national

C’est là que s’exprime toute la force d’un syndicat majoritaire : imposer sa voix au ministère et être présent sur tout le territoire auprès des collègues, en conseil comme en soutien.

Les lignes bougent. Plus personne ne conteste les dangers qui planent sur nos métiers, le gouvernement affiche par la voix de son ministre une volonté de calmer les tensions et un parlement renouvelé pourrait soutenir nos revendications.

C’est le moment d’imposer notre vision. Pour cela, plus que jamais, chaque voix compte.

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