
L’ajout de dispositifs moins-disants tels que les Contrats locaux d’accompagnement (CLA), les Cités éducatives et les Territoires éducatifs ruraux (TER) opacifie le système. Toutefois, la Cour des comptes promeut la contractualisation des moyens (tout en soulignant les dangers) et défend une allocation progressive des moyens.
Sous prétexte d’éviter les effets de seuils, la labellisation et les compensations, notamment indemnitaires, des personnels sont menacées.
La Cour des comptes reconnaît que le taux de pauvreté ne cesse d’augmenter et que des établissements non classés en 2015 remplissent, aujourd’hui, les critères de la labellisation.
Le SNES-FSU continue à se battre pour une politique nationale forte d’Éducation Prioritaire dont la carte doit être élargie en fonction des besoins et comprendre des lycées.