Vous trouverez toutes les précisions sur le bon mode de calcul de votre ORS avec le lien suivant.

Attention : certains rectorats ou proviseurs rivalisent d’imagination pour essayer de ne pas appliquer les textes officiels.

Un inventaire à la pervers
Derniers exploits en date : un rectorat du sud de la France essaye de ne pas appliquer l’ORS prépa (8h-11h) aux collègues qui ont un temps plein en CPGE mais pas de nomination au mouvement spécifique CPGE. Or, le décret de 50 et la circulaire « Boissinot » du 29 mars 2004 indiquent que l’ORS prépa s’applique aux professeurs ayant l’intégralité de leur service en CPGE, la nomination au mouvement spécifique n’y est pas mentionnée comme une condition sine qua non.

Dans une autre académie, c’est un proviseur qui souhaiterait inclure dans l’ORS une seule heure de TPE sur deux et appliquer des pondérations désavantageuses qui sont réglementairement exclues des ORS prépas.

Dans une académie du nord de la France, le rectorat essaye de ne pas appliquer l’ORS 8 à des collègues de DCG dont les effectifs, pourtant, dépasse les 35 étudiants en deuxième et troisième années.

Dans un autre rectorat, c’est une collègue qui vient d’être promue à la chaire supérieure à qui le rectorat veut imposer une ORS 15 parce qu’elle n’a pas un temps complet en CPGE. Or, pour le SNES-FSU, contrairement à d’autres organisations syndicales qui s’accommode de cette situation, être professeur de chaires supérieures implique forcément d’avoir une ORS prépa car le corps des professeurs de chaires supérieures est associé aux classes préparatoires. La défense de ce corps passe aussi par ce travail syndical au long cours

À signer sans crainte
Signer son État VS signifie juste que l’on en a pris connaissance et non qu’on l’approuve. Si vous constatez des erreurs, barrez-les et corrigez-les en rouge. N’oubliez pas de transmettre une copie de votre État VS à votre section académique et au secteur prépa en l’envoyant à : prepas@snes.edu afin que le SNES-FSU puisse intervenir et tenter de régler le problème.

La force du collectif
Chaque année, ce sont des dizaines de collègues que le SNES-FSU parvient à rétablir dans leurs droits grâce à son travail syndical à tous les échelons -local, académique et national- pour accompagner les collègues. De nombreuses situations injustes où les textes n’étaient pas respectés ont pu être résolues après des mois d’intervention du SNES-FSU.

Vos questions
Le Snes défend les droits individuels et collectifs. Vos représentants vous répondent, vous conseillent et vous accompagnent.
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