A l’issue du second tour APB, un grand nombre de candidats au baccalauréat n’a toujours pas d’affectation dans l’enseignement supérieur, y compris pour des formations ouvertes à tous (estampillées « pastilles vertes »). La situation est inacceptable pour ces milliers de jeunes, placés en situation « d’attente », ou victimes d’une affectation par défaut dans des universités n’offrant pas les parcours de formation demandés. Le tirage au sort et la multiplication des filières sélectives sont des outils gestion du manque de places ! Le baccalauréat, premier grade universitaire, doit permettre une poursuite d’étude dans l’enseignement supérieur.

Le SNES-FSU exige des mesures d’urgence pour assurer aux futurs bacheliers une affectation post-bac correspondant à leurs vœux.