Moteur ? Action !
5 minutes pour voter FSU, 4 ans pour être défendu·e efficacement et pour gagner, le choix est vite fait !
Votre voix va compter
Voter, c’est poursuivre la mobilisation pour nos salaires, nos métiers, c’est donner de la force à notre projet : des personnels revalorisés, confortés et respectés. Alors, votez pour vous, pour agir, pour gagner : votez pour la FSU !
Qui bloque ?
La grève des salariés de TotalÉnergie et Exxon a réactivé de bien détestables réflexes sémantiques de la part des quelques éditorialistes déconnectés de la réalité et qui ne voient pas plus loin que le bout du réservoir de leur voiture. Mais qui bloque vraiment ?
Matériel de rentrée
Si le dictionnaire de synonymes et la calculatrice font défaut du côté du ministre, l’adhésion au SNES-FSU et les baskets pour battre le pavé sont en bonne place sur la liste du matériel de rentrée des personnels !
Force d’action !
Utilisons ces forces, ces avancées pour poursuivre et amplifier les mobilisations, car oui, nous pouvons gagner, et nous allons gagner, pour nos salaires et pour nos métiers !
Présents !
Faut-il rappeler, encore et toujours, que les personnels de l’Éducation nationale ont répondu présents en toute occasion ? Que le Ministre se rassure : ce sera encore le cas à la rentrée malgré les conditions difficiles et…à l’heure de la mobilisation pour nos salaires et nos métiers !
Quelle histoire !
Emmanuel Macron semble vouloir s’inscrire dans les pas du Conseil national de la Résistance, en détournant et en récupérant à son profit ce sigle ancré dans l’imaginaire collectif et dans l’Histoire. A-t-il été conseillé par Mackinsey ? Quoi qu’il en soit la manœuvre est indigne sinon grotesque.
Vent debout !
Emmanuel Macron et Jean-Michel Blanquer sont dans un bateau. Jean-Michel Blanquer tombe à l’eau. Le navire Éducation nationale reprend son rythme de croisière mais les eaux sont mouvementées. La flotte syndicale, bien décidée à ne pas s’en laisser conter, ne le laissera pas sombrer !
Redonner du souffle à la démocratie
Empêcher l’extrême droite d’arriver au pouvoir, puis combattre les politiques libérales qui fracturent notre société et enfin redonner du souffle à notre démocratie
En même temps…
Après une crise sanitaire qui a durablement ébranlé notre société, une crise sociale due à des politiques libérales menées pendant cinq ans et dont les conséquences démocratiques n’ont pas fini de se faire sentir ; la priorité macroniste est donc d’affaiblir toujours plus les solidarités !
Échec et maths
Le cavalier Blanquer fléchit. Pour ne pas semer le désordre et nuire à la mise sur orbite du président candidat – il ne faudrait pas faire échec au roi ! –, il finit par reconnaître les insuffisances de sa réforme. Il se déjuge, sacrifie quelques pions – gambit –. La partie n’est pas finie. Continuons à nous mobiliser et à avancer nos pions pour faire échec à la réforme Blanquer.
Variant Blanquer
Alerte nouveau variant d’un virus apparu dans l’Éducation nationale en 2004 ! Recteur récidiviste, puis DGESCO, la souche initiale est allée se renforcer quelques années dans le privé avant de revenir, plus virulente encore, par la grande porte, à la tête du ministère de l’Éducation nationale.
Réalité parallèle
« Cherche ministre et hauts fonctionnaires, bonne connaissance du terrain indispensable… ».
Excédent élève !
Le ministre est à la tâche. Il s’affaire : tantôt écrivain maudit dont l’œuvre ne trouve pas son public, tantôt précandidat qui se construit une stature politique. Et sans vergogne, Jean-Michel Blanquer rend 75 millions à Bercy, énième provocation à l’égard des personnels dont le ministre est coutumier.
Mémoire collective
Après le recueillement vient l’action, le travail pédagogique se poursuivra. Ce travail, patient, au long cours est le sens même de l’engagement éducatif : former les citoyens de demain et cultiver quotidiennement la liberté de conscience et d’expression, faire vivre les idéaux d’une École publique, émancipatrice et laïque.
Trébuchant et dissonant
2000 euros minimum en 2022, en 2024…les promesses gouvernementales s’enchainent et se contredisent. Un peu de sérieux ! Salaires, moyens, nos métiers méritent mieux que ces faux-semblants.
Le masque et la plume
C’est bien connu les devoirs de vacances sont parfois un peu pénibles. Jean-Michel Blanquer a ainsi préféré écrire un livre sur l’école en temps de Covid plutôt que de préparer une rentrée en bonne et due forme.
Surenchère
Les dernières années de quinquennat apaisent souvent la frénésie réformatrice. Avec J.-M. Blanquer, il n’en est rien. Au contraire, plein gaz dans la dernière ligne droite !
Stratégie du chaos
Jean-Michel Blanquer est l’homme des paradoxes. D’un côté, la cohérence idéologique, de l’autre, le manque d’anticipation, la désorganisation imposée aux personnels et aux élèves. À une semaine du début des épreuves, les convocations ne sont pas toutes arrivées et les modalités d’évaluation demeurent floues…
Saccage d’un rite
Non seulement les aménagements ne répondent pas aux inquiétudes des personnels et des élèves mais ils plongeront assurément les jurys dans la même cacophonie que l’an dernier. Depuis des mois, le SNES-FSU, anticipant les éventuelles évolutions de la situation sanitaire, clame la nécessité de discussions sur ces questions, car avant de parler, il faut savoir écouter et débattre.