L’action syndicale paye, comme l’ont montré les premiers bougés dans l’Éducation nationale et la Fonction publique en janvier. Mais ce ne sont pas les seuls motifs d’espoir de la période. Le congrès de la FSU a permis d’acter une nouvelle étape dans la construction d’un nouvel outil syndical En posant les bases d’une « maison commune » du syndicalisme de luttes et de transformation sociale.
Nos luttes commencent à payer : raison de plus pour les amplifier !
Depuis 2018, une vingtaine d’organisations de psychologues, dont les collectifs des PsyEN du SNES-FSU et de la FSU-SNUipp, travaillent ensemble pour faire connaître et reconnaître le code de déontologie des psychologues.
En ce début d’année, les retraité·es sont visé·es par des attaques récurrentes : improductifs et improductives, plus riches que la moyenne de la population qui travaille, toutes et tous doté·es d’un patrimoine, mais qui coûtent cher, notamment à la Sécu. Ce discours a pour objectif de diviser et de préparer des mesures portant atteinte au niveau de vie des personnes en retraite (sous-indexation ou gel des pensions, hausse de la CSG, etc.).
Lors de son congrès à Rennes, la FSU a renforcé ou développé ses mandats sur les LVER. Cet article en dresse la liste.
Alors que dans certaines académies les Écoles Académiques de la Formation Continue (EAFC) annulent à la pelle des formations continue faute de budget, la DGRH et la DGESCO ont reçu les organisations syndicales lundi 10 février pour présenter le bilan du schéma directeur de la formation continue pour 2022-2025.
Vous êtes formatrice ou formateur, ou envisagez de le devenir ? Statut, recrutement, contenus de formation : le SNES-FSU vous informe.
Le 11 février 2025, la fonction d’accompagnant·e a 20 ans. La mobilisation doit continuer pour faire sortir les AESH de la précarité.
Le contexte actuel de coupes budgétaires accentue l'inaction structurelle dans la rénovation énergétique des bâtiments scolaires. Nos établissements ne doivent pas payer le prix de cette impréparation.
Les politiques publiques menées aujourd'hui en France et Europe, dont la politique éducative, semblent conçues pour conforter la fuite en avant de l'intelligence artificielle. Exigeons une maîtrise démocratique de cette technologie et une limitation drastique de ses usages, afin de faire primer les droits humains, sociaux et environnementaux.
À l'occasion de la réécriture des Lignes Directrices de Gestion (LDG) mobilité pour le mouvement 2025, le ministère a décidé de demander aux participant·es pacsé·es de fournir une preuve d'imposition commune pour déclencher la bonification pour rapprochement de conjoint·e et les bonifications qui y sont liées (bonification pour séparation de conjoint·e par exemple).
L'intersyndicale exige le maintien du budget alloué à la part collective du Pass culture afin que l'ensemble des projets initiés dans les établissements puissent être menés à leur terme.
Le gel des crédits du Pass culture est impensable, encore plus en cours d'année alors que des projets sont engagés ! Ci-dessous, un projet de vœu pour exprimer en CA le désaccord des personnels et des parents.
Coupes budgétaires et suspension de la part collective du Pass culture : en quelques heures, de multiples projets suspendus au mépris du travail des personnels et de l'ambition d'ouverture culturelle de l'Ecole. Scandaleux !
Le SNES-FSU met à disposition de ses sections d'établissement un guide pratique pour agir en conseil d'administration dans le cadre de la préparation de rentrée 2025.
Le Conseil Supérieur de l'Éducation (CSE) du 30 janvier a validé le programme d’Éducation à la Vie Affective, Relationnelle et à la Sexualité (EVARS) avec 60 voix Pour, 0 Contre et quelques abstentions. Derrière ce vote unanime, c'est une véritable bataille qui a été menée pied à pied par toute la FSU et le SNES-FSU en particulier, majoritaires, avec d’autres organisations syndicales.
Le SNES-FSU appelle l’ensemble des collègues avec les parents à se mobiliser pour enterrer cette réforme qui est un fiasco ! Pour faire réussir les élèves, le SNES-FSU exige des effectifs de classe drastiquement réduits avec 20 élèves par classe au maximum (16 en éducation prioritaire) et des dédoublements réguliers.
Pour la seconde fois, le CSE a voté unanimement contre les groupes de niveau. Professeur·es, chefs d'établissement, parents : la lutte continue, ensemble, face à un ministère qui passe en force.
Après plusieurs reports, le Conseil Supérieur de l'Éducation étudiait le programme d'EVARS. Il a été adopté à l'unanimité avec des amendements de la FSU.